Partout dans le monde

Publié le par spikeju

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Et si on profitait de cette arrière-saison agréable pour sortir dans le jardin, contempler le ciel étoilé ou la lune, et laisser notre esprit vagabonder dans l'immensité du monde et de l'espace ?

 

 

 



(Hé chérie, comment tu vas ?
Je peux être ton mec ?)

Mon animal à mes côté
Dieu dans le ciel
La neige qui tombe
Glace mon corps de la tête aux pieds
Je ne peux pas me promener
Mais une fois encore
Je me promènerai
Partout dans le monde

Balayé sur le côté
Au sommet du ciel
Une longue descente en plongée
Deux pieds se posent sur un sol différent
On ne vit pas facilement
On ne peut même pas parler
Mais eux parlent tous
Partout dans le monde

Je te rencontrerai là-bas
Je vais te rencontrer là-bas

Balayé sur le côté
Au sommet du ciel
Une longue descente en plongée
Deux pieds se posent sur un sol différent
On ne vit pas facilement
On ne peut même pas parler
Les poissons eux parlent tous
Partout dans le monde

Une plaine sans troupeau
Pas même un oiseau
Quand une face est chaude
L'autre face de la lune ne l'est pas
C'est comme une promenade
Peut-être qu'un jour
Ils en feront une promenade
Partout dans le monde

Je te rencontrerai là-bas
Je vais te rencontrer là-bas

Le temps est un arrangement
Le temps est un arrangeur
Je suis une perturbation

Toutes mes pensées
Tout ce que je suis sont mes pensées
Toutes mes pensées
Je suis tout ce qu'on m'apprend
   
Mieux vaut appeler les gardes
Il y a un déraillement de train
Mieux vaut appeler les gardes

Tout ce qu'on m'apprend
Tout ce que je suis sont mes pensées
Toutes mes pensées
Tout ce que je suis sont mes pensées
Que je ne suis pas


 

 

Black Francis et ses acolytes se laissent embarquer par les extraterrestres dans une ballade parcourant le monde entier (Est-ce leur monde à eux ? La lune ? L'au delà ? A vous de vous faire une idée).


Musicalement, on retrouve un des meilleurs exemples du savoir-faire des Pixies pour alterner brusquement le calme et la tempête. Les couplets tranquilles et posés proposent une rythmique lourde agrémenté de riffs court et parfois bizarroïdes, tandis que le refrain et les solos laissent exploser des guitares sauvages. La deuxième partie de la chanson rompt totalement avec la première sur le plan musical et propose une série d'arpèges électriques puis de power-cords, toujours sur un rythme lourd, avec en fond sonore une voix sortie d'un quelconque transmetteur.

Publié dans The Pixies

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